Un "rêve "prophétique
Alors l'Eternel dit à Samuel : Voici , je vais faire en Israêl une chose qui étourdira les oreilles de quiconque l'entendra 1 Sam 3/11
Ce que l'Eternel a dit à Fernand ce jour là...en "rêve"
Le 30 septembre
2011, Fernand Dinde écrivait ceci sur « Regards
croisés » J'ai fait le rêve d'une grande Côte d'Ivoire et d'un grand Président ..."
Quelquefois le Seigneur
nous parle sans que nous le sachions ou bien nous pouvons écrire à mots voilés, sans que l’on dise vraiment ce qu’il en est..C’est le St
Esprit qui parlera au cœur du lecteur ; « ce rêve » à l'image de celui de Martin Luther King, sous la plume de Fernand Dinde est écrit certes sous la forme journalistique, mais il est prophétique. Je l'ai su des la lecture. Cette
parole vient du cœur du Seigneur. Ce « rêve » décrit exactement l’œuvre de l’Esprit lorsque celui-ci sera répandu
dans les cœurs et sur le pays et
celle du bon berger en Côte d’Ivoire. La seule différence est qu'il ne proviendra pas du sérail
« politique » et qu’il n’aura pas de « sang
sur les mains ». Il aura un coeur comme celui de David, il restaurera la justice et sera revêtu de la sagesse de Salomon .( Psaume 72) J’ai simplement mis en gras les choses qui sont importantes car elles viennent de l'Esprit et mis un titre au
paragraphe. A la fin je rajoute quelques unes des paroles qui
m’avaient été données .
Extrait de (click sur) J'ai fait le rêve d'une grand Côte d'ivoire et d'un grand président
Extrait de (click sur) J'ai fait le rêve d'une grand Côte d'ivoire et d'un grand président
L'oeuvre du St Esprit
J’ai fait le rêve d’ Une grande Côte d'Ivoire où
l'amour sincère reprenait le dessus sur la haine et la méfiance morbide, où le
pardon faisait place à la rancœur et au sentiment de vengeance; (où le
militant RHDP et le militant LMP ) où les ivoiriens .. marchaient
bras dessus-dessous en s'esclaffant d'un rire bon enfant, se serraient les coudes pour désherber,
repeindre, restaurer ensemble toutes les infrastructures et services pillés et
incendiés du pays ; où tous les fils et filles du pays, dans un seul et
même élan fraternel, balayaient les rues de nos villes au sein d'associations
de quartier, sans attendre d'être rémunérés ou de bénéficier d'une quelconque
reconnaissance ou distinction sociale ; où les femmes, les hommes et les
jeunes réalisaient des ouvrages d'intérêt public, conduisaient des actions de
développement communautaire, menaient des opérations de propreté dans nos
hôpitaux et maternités, avec à leur tête les hommes de DIEU, les chefs de
partis locaux et nos hommes en armes.
J'ai fait
un rêve où les Ivoiriens s'étaient vraiment et totalement pardonnés, non pas
sur ordre, par communiqué officiel, décret présidentiel ou annonce de
presse ; où ils bénissaient et priaient pour ceux qui avaient été leurs
ennemis, donnaient à boire et à manger à ceux qui s'étaient révélés être leurs
bourreaux, portaient leurs enfants sur leurs épaules et les chérissaient,
compatissaient sincèrement à leurs douleurs et détresses. Ne se reconnaissant
désormais qu'en un seul et unique peuple. Indivisible et bienheureux. J'ai
rêvé d'un peuple qui a fait sa catharsis et qui a été conquis par l'amour.
Oui, j'ai
fait un rêve où l'ethnie n'était plus une référence politique ou religieuse..
J'ai fait
un rêve où tous les Ivoiriens et les hautes autorités de l'Etat en exil étaient
rentrés en chantant, la tige de fleur au coin de la bouche, accueillis et
célébrés chez eux par les militants LMP et RHDP de leur quartier, en totale
symbiose, même si de ligne politique différente ; où les ex-FDS de retour
au pays ont été reçus par un comité d'accueil présidé par les ex-FAFN, à
Une cérémonie au cours de laquelle ils ont fait la promesse sincère de ne jamais plus offrir aux Ivoiriens ce spectacle désolant d'affrontements et de guerre fratricides.
Une cérémonie au cours de laquelle ils ont fait la promesse sincère de ne jamais plus offrir aux Ivoiriens ce spectacle désolant d'affrontements et de guerre fratricides.
Le
Seigneur redonne des fondations à la nation : la colonne de la justice ,
la colonne de la Vérité
et la crainte de Dieu
J'ai fait
le rêve de la naissance d'une vraie nation ivoirienne plus que jamais
fraternelle, prospère et unie, avec une économie amorçant une émergence
fulgurante, le travail pour devise réaffirmé, la droiture et la justice pour
socle, la vérité et la crainte de DIEU pour fondement moral et
spirituel.
Le bon
berger
Mais j'ai
aussi fait le rêve que cette nouvelle Côte d'Ivoire est née sous l'impulsion
d'un grand président, unificateur, rassembleur, magnanime, repentant, modeste,
initiateur d'une réconciliation vraie, pas celle des vainqueurs en cours en ce
moment, mais celle fondée sur l'amour, le pardon, la compassion et la vérité.
Un grand président qui a libéré Laurent
Gbagbo, son épouse Simone, son fils Michel et tous ses partisans et
collaborateurs croupissant dans les geôles ivoiriennes. Un grand homme
d'Etat qui a remis à tous leurs fautes et crimes, y compris ceux humblement
reconnues de ses propres affidés, dans une amnistie générale à la sud-africaine. Ce geste majeur de miséricorde l'a
grandi encore plus, l'a fait aimer même par ses pires détracteurs
Il a ramené la consolation, la joie de
vivre et le bonheur dans le cœur meurtri de chaque ivoirien.
Ce grand
homme a pansé les plaies du peuple, a mis du baume au cœur des affligés, a
consolé les veuves et les orphelins de la crise ivoirienne issue de tous les
bords et de toutes les conditions par des paroles appropriées et des actes de
grande munificence ..
Il a
secouru le malheureux et le pauvre, en leur accordant la priorité de toutes ses
actions….
Ensuite, dans un brassage ethnique, politique,
religieux et régionaliste achevé, ils ont procédé ensemble, sous la signature
du chef de l'Etat, à la nomination dans
les institutions et services du pays
de valeurs sûres dont cette nation regorge en termes de compétence, de
qualification et d'excellence. ..;
Merveilleux,
ce rêve, non ? Mais malheureusement, ce n'est qu'un rêve.
Certainement, totalement fou. Pourra-t-il malgré tout, un de ces prochains
matins, devenir réalité et faire émerger cette nouvelle nation que nous
appelons de tous nos vœux
Fernand
DINDE
Regards croisés :Le blog de fernand Dinde
Regards croisés :Le blog de fernand Dinde
Ce rêve
est « merveilleux », mais ce n'est pas qu'un rêve, il est prophétique car il est né du cœur de Christ sous la plume de
Fernand pour sa chère « Côte »…
d’Ivoire !
Quelques paroles reçues concernant le bon berger :
Quelques paroles reçues concernant le bon berger :
Tu parlas jadis en vision à ton bien-aimé, Et tu dis : J'ai prêté secours à un héros, J'ai élevé
du sein du peuple un jeune homme ; J'ai trouvé David, mon serviteur, Je l'ai
oint de mon huile sainte. Ma main le
soutiendra ;Oui, mon bras le fortifiera. L'ennemi ne pourra pas le surprendre,
Et le fils d'iniquité ne l'opprimera pas.
Je mettrai en pièces devant lui ses adversaires, Et je frapperai ceux
qui le haïssent.
Ma fidélité et ma bonté seront avec lui, Et la
corne de sa force s'élèvera par mon nom. Je poserai sa main sur la mer Et
sa droite sur les fleuves. Il
m'invoquera, disant : Tu es mon Père, Mon Dieu et le rocher de mon salut ! Et moi, je ferai de lui le premier-né, Le
souverain des rois de la terre. Je lui
conserverai à toujours ma bonté, Et mon alliance lui demeure assurée. Ps
89/20 – 28 (2007)
Esaie 22/15 à 23 : Esaïe reçoit
la mission d'annoncer au préfet du palais , Chebna, sa destitution et son
remplacement par un homme qui remplira sa charge dans la crainte de Dieu et
pour le bien du peuple
Va,
transporte-toi auprès de ce haut dignitaire, auprès de Chebna,
gouverneur du palais pour lui dire : Que possèdes-tu à
toi en ces lieux, qui t'appartient ici, pour t'y creuser un sépulcre? (1)
II ose se creuser un sépulcre sur les hauteurs, se tailler une demeure dans le
roc!
Voici, l'Eternel va
t'empoigner avec vigueur, te faire tourner sur toi-même; il te roulera
comme une pelote, te lancera comme une boule vers un pays aux vastes espaces.
Là, tu mourras, là iront tes chars somptueux, ô toi, honte de la maison de ton
maître. Ainsi je te précipiterai de ton poste et te culbuterai de ta place.
En ce jour, je ferai
appel à mon serviteur Eliakim, fils de Hilkyyâhou. Je le revêtirai de ta
tunique, fixerai autour de lui ta ceinture et remettrai ton pouvoir entre ses
mains; il sera un père pour les habitants de Jérusalem et la maison de Juda. Je
poserai la clef de la maison de David sur son épaule: il ouvrira et personne ne
fermera, il fermera et personne n'ouvrira. Je le planterai solidement
comme un clou dans un mur résistant, et il deviendra un trône de gloire pour la
maison de son père. ... En ce jour, dit l'Eternel-Cebaot, le
clou (de Chebna) planté dans un endroit solide cédera, il sera abattu et
tombera, et avec lui sera ruinée toute la charge qu'il supporte. C'est
l'Eternel qui a parlé. 1993
Car Mardochée le Juif était le
premier après Dieu (ici le roi Assuérus ); il fut grand parmi les
Juifs, aimé de la multitude de ses frères, et rechercha le bien de son
peuple et parla pour la paix de toute sa race. Esther 10/3 (1993 )
Psaume 72
Il envoya Moïse, son serviteur, Aaron,
qu'il avait élu.
Ils accomplirent au milieu d'eux
les signes qu'il leur avait dit,
Et des miracles dans le pays de Cham. (Ps 105) 2007
- concernant la Côte d'Ivoire
Es
33 Malheur à toi,
dévastateur, qui n'as pas encore été dévasté ; perfide, qui n'as pas encore été
traité perfidement ! Sitôt que tu auras fini de dévaster, tu seras dévasté ;
sitôt que tu auras achevé tes perfidies, on te traitera avec perfidie.
Eternel, fais-nous grâce ; c'est
à toi que nous nous attendons ! Sois leur bras chaque matin, et notre
délivrance au temps de la détresse.
A ta voix tonnante les peuples
ont fui ; quand tu t'es levé, les nations se sont dispersées. Votre butin sera ramassé comme ramasse la
sauterelle ; on se précipitera dessus comme se précipite un essaim de
sauterelles.
L'Eternel s'est élevé ; car il habite en-haut ; il a rempli Sion
d'équité et de justice. Tes jours seront assurés ; tu auras en abondance salut,
sagesse et connaissance, la crainte de l'Eternel, c'est là le trésor de Juda. Voici, leurs héros crient dans les rues ;
les messagers de paix pleurent amèrement ; les routes sont désertes ; il n'y a
plus de passants sur les chemins ; il a rompu le traité, méprisé les villes,
dédaigné les hommes ; le pays est en
deuil et languit ; le Liban est confus et flétri ; Saron est devenu comme une
steppe ; Basan et Carmel perdent leur feuillage.
Maintenant je me lèverai, dit l'Eternel ; maintenant je me redresserai ; maintenant je serai haut élevé ! Vous concevrez de la balle, et vous enfanterez du chaume ; votre souffle est le feu qui vous dévorera ! Et les peuples seront des brasiers à chaux, des épines coupées, que l'on brûle au feu.
Maintenant je me lèverai, dit l'Eternel ; maintenant je me redresserai ; maintenant je serai haut élevé ! Vous concevrez de la balle, et vous enfanterez du chaume ; votre souffle est le feu qui vous dévorera ! Et les peuples seront des brasiers à chaux, des épines coupées, que l'on brûle au feu.
Vous qui êtes éloignés, écoutez ce que j'ai fait ; et vous qui êtes près, connaissez ma force ! Les pécheurs ont tremblé en Sion, et l'effroi a saisi les profanateurs : Qui de nous séjournera dans le feu dévorant ? qui de nous séjournera dans les flammes éternelles ? Celui qui marche dans la justice et qui parle avec droiture ; qui rejette les gains extorqués, qui secoue ses mains pour ne point prendre de présent ; qui ferme son oreille aux propos de sang et qui bouche ses yeux pour ne point voir le mal. Celui-là habitera dans des lieux élevés ; la forteresse du rocher est sa retraite ; son pain lui est donné, et ses eaux lui sont assurées.
Côte d’Ivoire : Tes
yeux contempleront le roi dans sa beauté ; ils verront une terre ouverte au
loin. Ton cœur se rappellera ses
terreurs : Où est celui qui nous taxait
? où celui qui tenait la balance ? où celui qui comptait les tours ? (
allusion aux soldats de l’armée ennemie ) Tu ne verras plus le peuple insolent, le
peuple au langage obscur et qu'on n'entend pas, qui bégaie une langue qu'on ne
comprend point. Regarde Sion, la ville de nos assemblées ;
que tes yeux voient Jérusalem, séjour assuré, tente qui ne sera point
transportée, dont les pieux ne seront jamais arrachés, et dont aucun des
cordages ne sera enlevé. Car c'est là que l'Eternel est puissant en notre
faveur ; il nous tient lieu de rivières, de larges fleuves ; aucun navire à
rames ne s'y risquera, et les vaisseaux de guerre n'y pénétreront point. Car l'Eternel
est notre juge ; l'Eternel est notre législateur ; l'Eternel est notre roi
; c'est lui qui nous sauvera ! Tes cordages sont relâchés ; ils ne
tiendront plus le mât ferme sur sa base et le pavillon déployé, on partage
alors les dépouilles d'un grand butin ; les boiteux mêmes prennent part au
pillage ; et aucun des habitants ne dira
: Je suis malade ! Au peuple qui demeure
en Sion son iniquité est pardonnée ! (1982)