La nappe des Noces est préparée
ma Bien-Aimée
Je t'attends..Je t'attends..
ma Bien-Aimée
Je t'attends..Je t'attends..
Le 2 avril 2012
soit le 10eme jour du 1er mois biblique. (début des préparatifs de la fête de Pâques)
Vers 3h du matin, j’ai vu soudain stupéfaite, une nappe immense qui n’en finissait pas, se
déployer vers moi. Elle flottait brillante dans la nuit et descendait doucement guidée par un souffle
vers le globe de la terre. Couverte de broderies magnifiques,
de perles, d’arbres, de fleurs, de chants d’oiseaux, de ruisseaux, d'une beauté sans pareille, elle m'attirait vers elle ..
Puis prés de moi, j’ai vu le Brodeur comme en image
rétrospective, la nappe sur ses genoux :
lorsqu’Il brodait une larme
coulait parfois de ses yeux , devenant une perle, ou un point de broderie en tombant sur la nappe. Chaque larme était le prix de la
souffrance qu’il avait payé pour une de nos
vies, mais elle représentait aussi, les
souffrances que nous recevions en partage en le suivant et en payant le prix. Chaque
vie sous mes yeux devenait ainsi un point de broderie .Et la nappe finie se déploya à nouveau comme vivante ..
Et j’entendis une voix douce mais résonnant tout autour de la terre
"La nappe des Noces est préparée ! Ma bien aimée, Je t’attends Je t’attends"
"La nappe des Noces est préparée ! Ma bien aimée, Je t’attends Je t’attends"
Ma bien-aimée, Je
t’attends, Je t’attends
Je te prépare depuis si longtemps
Mais pendant tout ce temps
Tu oublies si souvent
De regarder vers moi
Le cœur encore trop rempli
De ce monde, de peurs, de soucis
Ma bien aimée, Je t'attends
Tu oublies si souvent
Que je t’ai couverte de mon sang.
Habituée au fracas du monde
Tu n’entends plus ma voix
Quand j’essaye de t’attirer à moi
Tu n’es plus sûre, tu hésites à chaque pas..
Tu préfères ainsi les
ténèbres
A mon admirable lumière
Ma bien aimée, J'ai parlé
Tu oublies parfois
Que je sais tout de
toi
Que tu n’es rien sans moi.
Aux fenêtres de mon
ciel
J’aime te regarder
vivre
Je soupire après toi
Les yeux posés sur toi
Je sais quand tu me
fuis
Quand tu caches sans
l’avouer
Au fond de ton cœur
La moindre de tes pensées
Ma bien-aimée, ne sais-tu pas
Combien je prends plaisir en toi ?
Quand tu pries, je
prie avec toi
Quand tu chantes, je chante
Quand tu marches, je
marche prés de toi
Quand tu pleures, je
pleure avec toi
Quand tu tombes, je souffre avec toi
Ma bien aimée ne sais-tu pas ?
Tu es ma prunelle
Tes larmes sont mes
larmes
Tu es mes lèvres
Ton rire devient mon rire
Tu es mon bras
Tes combats sont mes combats
Je t’ai attaché autour de moi
Ma bien aimée, rappelle-toi
Mon Amour pour
toi est fait
De douleurs et d' épines
De peines et de rejets
De clous, de
grumeaux de sang
De silence parfois
De silence parfois
Mon cœur est broyé
Quand je pense à toi
Tu te crois si loin de moi..
Ma bien aimée, crois
tu vraiment
A cet Amour si fort,
si puissant ?
Plus grand que
l’Eternité
Pourquoi ne crois-tu
pas
Que je puisse t’aimer
autant que cela?
Toi en moi et moi en toi
Dans le coeur du Père
Dans le coeur du Père
Ma bien aimée, ma Parole a parlé
Je tiens les colonnes de l’Univers
Et je ne te tiendrai pas ?
Je suis Ton ancre, ton Port, dans le combat
Ma bien-aimée, si tu
ne crois pas
Pleinement cet Amour
là
Un jour la porte se fermera
Je suis ton Amour Eternel
L’Amour parfait, ton Prince de paix
Chaque jour prés de toi.
Tu es mienne et je
t’attends
Pourtant tu dors ou tu rêves
A d’autres lumières
Les yeux pleins de
chimères
Ma bien-aimée, Viens, Je t'attends
Ma bien-aimée, Viens, Je t'attends
Il n’est plus temps
de flâner
Tu ne pourras rien
emporter
Des chemins de la terre
Je suis ton Tout,
regarde- moi
Reviens à moi telle que tu es
J’ai dessiné avec ma
vie
Un chemin pur et
saint dans le ciel
J’ai imprimé mes pas
Tu ne te perdras pas
Ma bien-aimée, ne
vois-tu pas
Le cours du temps
Filer entre tes doigts
Ma bien aimée, Viens, Je t’attends
Le temps va plus vite
qu’avant
Ma bien aimée, ma Parole a parlé
Ne perds plus ton
temps
A écouter le serpent
Viens
te reposer sur moi ,
Tu ne tiendras pas contre lui sans moi
Ma bien-aimée, tu me
dis souvent
Que tu te sens seule,
que tu m’attends
Tu as tant besoin de moi ..
J’ai moi aussi besoin de toi
Je pleure souvent le cœur broyé
A préparer ta robe et
tes colliers
A te voir souffrir loin de moi
Ma bien-aimée ton exil est fini
Je suis ton merveilleux pays
Mais connais-tu vraiment
Ma longueur ma
largeur
Ma hauteur ma profondeur
Qui s’étendent à l’infini ?
Ma
belle, ma bien-aimée
A qui je veux donner
Au delà de ses pensées
Ma bien- aimée j'ai parlé
Mes bras sont ouverts
Viens boire à mes lèvres
Le torrent des délices
Tu es ma terre, tu es mienne
Entre dans mon jardin
A l’ombre du pommier
Je te donne la manne
cachée
J'ouvre les sceaux des secrets
Je suis ton arbre de Vie
Ton vent ta voile et ta Foi
Ma bien aimée, je te chéris
Viens enfin te
reposer EN moi
Je suis
là, tous les jours prés de toi
Ma bien-aimée, j’ai pour toi
Des transports d’allégresse
Je t’attends, je t’attends
Ton cœur tressaillira, bondira
De toute cette joie
Jour de la joie de mon cœur
Jour de la joie de ton cœur
Ou tu seras consolée
Quand le voile se lèvera
Tu resteras émerveillée
Éblouie de tout ce bonheur
Déversé dans ton cœur
Ma colombe, si tu savais
Tout le ciel t’attend avec moi
Tout le ciel, suspendu au son de Sa Voix
Quand sur l’ordre de mon Père
Je reviendrai vers toi
Mon amour si fort si puissant
T’attirera dans mes bras
Et rien ne te retiendra
Avec des chants de triomphe
Mes armées dans le ciel
Avec des chants de triomphe
Célèbrerons ce jour parfait
Tu es mon combat, ma
passion
Réunis pour toujours
J’étendrai sur ta terre en ce jour
Toute Ma tendresse, ma Bannière
Mon Manteau rouge de
gloire
Vêtue de ta robe de lumière
Je te prendrai par la main
Mon Lys de Saron
Mon Lys de Saron
Si petite à mes côtés,
Pour te faire découvrir
Les murailles de la
Ville de cristal
Tu entendras des
paroles ineffables
Des mots d’amour du grand Roi
Je t’ai préparé des jardins
parfumés
Avec les anges nous
chanterons
Avec les arbres nous danserons
A jamais tu seras
Ma victoire et ma
Joie
Et tu régneras prés de moi
Ma bien aimée, je t’attends
Viens fleurir égayer mon cœur
Vois tu je serai moi aussi consolé
De mes peines à t’appeler te chercher
Ma bien aimée, Je
t’attends je t’attends
J’attends tellement
Que tu te donnes à moi
Comme je me suis
donné à toi
Mon Eglise ma Parole a parlé,
Mon Eglise le sais-tu ?
Un jour je n’attendrai plus
Tu ne crois pas
Pleinement en cet Amour
Toi en moi et moi en toi
Dans le coeur du Père
Dans le coeur du Père
Mon Eglise, le sais-tu ?
Un jour je n’attendrai plus
La porte se fermera
Et tu resteras loin de moi
Ma bien aimée Je t'attends...
Déborah
Ma bien aimée Je t'attends...
Déborah